lundi 14 mars 2011

Collusion ou tentative d’influence extérieure au sein du Bloc Québécois!

COMMUNIQUÉ
Pour diffusion immédiate!

Une fois de plus, les militants se font tasser! Les membres d’exécutifs de comtés et cela, par l’intervention d’agents de liaison, créent des exécutifs de coquilles vides. On tasse des présidents et leurs exécutifs, car ils appuient un autre candidat que le chef qui de son côté affiche ouvertement un autre choix, par son droit de réserve et de neutralité. Il y a de la collusion ou même de la corruption du et par le pouvoir. Ces raisons m’obligent ainsi à intervenir dans un débat à venir au cours des prochains mois : une élection fédérale qui s’annonce globale ou partielle…
Au départ, au mois d’août 2010, l’honorable Francine Lalonde m’annonce qu’elle ne se représentera pas et elle voulait savoir si j’avais fini mes études. Sans prétention de sa part et surtout, sans aucune demande ou proposition de sa part, elle me démontrait simplement que je pouvais tenter ma chance dans ce comté dans le cadre de l’élection à venir. Ce comté : La Pointe-de-l’Ïle dans l’est de Montréal. Le mois suivant elle sort publiquement annoncer son retrait de la vie politique à la fin de son mandat. Ainsi, je commençais alors les procédures pour devenir candidat pour l’investiture à venir.
Ce que je veux dire ici, c’est que l’exécutif national avait ses stratégies, celles du chef. Pour aller chercher le vote du NPD au Québec, pourquoi ne pas faire traverser le vice-président du NPD, Jean-Claude Rocheleau. En octobre et novembre, il y a eu une première cohorte de candidat. Nous étions sept au total pour l’investiture, incluant Jean-Claude  Rocheleau et moi-même. Suite à la venue de Jean-Claude Rocheleau au Bloc Québécois, qui fut annoncée par les médias, la majorité des candidats se sont retirés pour ne pas se faire une mauvaise image au Bloc Québécois. De plus, on sait tous que dans ces cas là, l’exécutif national intervient, et souvent de façon agressive dans le processus d’investiture. Ici, plusieurs tentatives part des agents de liaison ont été tentées pour nuire à tous les candidats. Suite à cela, une personne de l’exécutif de la Pointe-de-l’île se présenta, madame Ginette Beaudry. Voyant cela, j’ai décidé alors, suite aux conseils avisés de certaines personnes, de me retirer et de revenir dans mon propre comté, Honoré-Mercier. L’aventure se corse encore plus!
Une fois ma décision, de me relever les manches et d’aller affronter Pablo Rodriguez dans Honoré-Mercier, j’en ai avisé la permanence. C’est alors, que le national me parla de leur deuxième stratégie provinciale, celle du vote anglophone (Des anglos dans Honoré-Mercier ?). Qui maintenant veulent-ils présenter : Mike Sawatzky, ex-guitariste du groupe des Colocs. L’ayant déjà rencontré à deux ou trois reprises et cela, très rapidement, je considérais cette stratégie raisonnable et juste, je décidais alors de rester encore en arrière et de laisser la place. Cependant, il se retira pour un autre comté où la possibilité de se faire élire est plus avantageuse qu’Honoré-Mercier et cela, selon la permanence. À ce dernier, je lui souhaite tout le succès qu’il mérite dans son nouveau comté et peut-être même en tant que futur député.
Alors, en principe, dans les procédures, le président du comté devrait informer la permanence des autres candidats et si nécessaire, de demander une investiture. Mais au Bloc québécois ce n’est pas la méthode. J’ai été informé que la permanence, par le biais de M. Reny Gagnon, agent de liaison des comtés orphelins de Montréal, a proposé à deux personnes une élection clé en main pour être candidat dans ce comté. Pas d’investiture, rien à faire pour convaincre les membres et pour aller chercher du ou le financement nécessaire. Seulement sa personne et sa signature en bas d’un bulletin de candidature du DGE et d’afficher sa photo sur les pancartes électorales! Sur ce, j’affirme ici que le Bloc Québécois laisse paraître une tentative de corrompre pour une seconde fois le droit de vote des membres du Bloc Québécois dans l’est de Montréal! La première étant Jean-Claude Rocheleau et de son imposition aux membres du comté de  La Pointe-de-l’île.
Donc, je souhaite mes félicitations à la nouvelle candidate et future élu du Bloc Québécois : Ginette Beaudry et surtout, aux membres qui ont réussit à redonner toute la dignité qui revient à cette dite démocratie bâclé par des penseurs avides du pouvoir. 
Être le trouble-shooter n’est pas à mon avantage si le but premier est de me faire du capital politique. Je le suis seulement quand le bien commun et collectif est une prémisse de base de l’action à entreprendre. Et maintenant, c’est le cas, je ne peux pas, en tant qu’étudiant du cours d’éthique et gestion des HÉC laisser passer sans rien dire. Il est peut-être temps, de voir et de faire la politique différemment!


         Source :      Yanick Lefebvre
                            Aspirant candidat pour le Bloc Québécois
                            Circonscription d’Honoré-Mercier
                            Conseiller politique
Conseiller en gestion philanthropique
                            yanlefebvre@gmail.com
                            www.limpoliticienhumaniste.blogspot.com 
                            438-888-0523
                            Twitter : #yanicklefebvre

jeudi 14 octobre 2010

La Publicité Humanitaire et Sociale


 Ce que j’aime de ce cours, c’est démontrer comment l’humain peut faire grandiose et cela, sans nécessairement y dilapider sa fortune. De plus, l’aspect philanthropique que nous pouvons ajouter à ce cours l’enrichi grandement. Ainsi, les diverses campagnes, reliées à des besoins réels de notre société, permettent d’accroître l’approche pratique de la formation. Cependant, je mets un bémol sur ces éloges. Le fait est le contexte intensif de l’horaire. Sur ce point, permettez moi une petite parenthèse.

« À quand, une institution humaine! »
Pour des raisons encore inconnues à mon esprit, l’université préconise
 l’enseignement intensif au détriment de la qualité de l’enseignement.

Maintenant, revenons à nos moutons. Au début, j’aborde la question que l’humain peut accomplir énormément, cependant c’est toujours conditionnel à l’action engendrée. Je m’explique! Durant tout le long du cours, nous avons abordé deux types d’approches pour mener une campagne publicitaire humanitaire et sociétal et surtout, en ayant constamment la notion d’un coût minime et même souvent, de budgets presque inexistants. C’est deux structures sont soit une publicité créée à la base d’un événement ou la création de clip ou autre support médiatique. Je n’enlève rien au événement, cependant je me réfère au résultat que le chargé de cours, M. Richard Leclerc, dresse de l’événement « Gouache » au complexe Desjardins. Beaucoup d’effort pour un résultat minime. Dans cette optique, il est important de posséder pour ce type d’approche, au point de vue de la portance, une idée encore plus forte que lorsque nous abordons la simple création d’un clip publicitaire.

 Suite à la création vient la question de la diffusion. Lorsque j’observe notre société, de son individualisme égocentrique et surtout, lorsqu’il est temps de passer à l’action; j’y vois beaucoup de confrère de vie prendre leurs jambes à leur cou et cela, pour des raisons propres à chacun. Le fond du problème est le choque qui existe entre les médias majeurs et ceux de moindre importance qui sont reliés à l’Internet. Ces nouveaux médias sont loin d’être à négliger, cependant pas à l’encontre des anciens médias. Prenons comme exemple le cas de la présidence au États-Unis de 2008. Est-ce que le président Obama porterait se titre s’il avait simplement miser sur l’Internet et ses réseaux sociaux? Ainsi, il est logique de croire que toutes causes est gagnantes lorsque qu’elle réussit le plus important : de créer une synergie entre tous ces types de médias, anciens comme nouveaux. Donc, sans CNN, ABC, etc., Obama ne serait pas Président. Ainsi, cette peur d’approcher les gros médias peut laisser paraître un manque de confiance envers votre propre campagne et même pire, envers votre propre cause. Mais je tiens à préciser que la diffusion, par les médias majeurs, n’est pas garantie, cependant… (Voir la dite phrase plus bas)

Pour les coûts reliés à ce type de publicité, je vous dirais simplement cette phrase et au même moment, ayez en tête que c’est un humain sensible à certaines causes qui reçoit votre proposition. Ainsi, cette dite phrase est :
« DEMANDES  ET  TU  RECEVRAS! »
Et son contraire est encore plus véridique
« Demandes rien et tu n’auras rien! »

mercredi 13 octobre 2010

La cause suprême : le droit HUMAIN !

Extrait de l’introduction dans l’ébauche du Le livre blanc Contrat Social québécois, de Yanick Lefebvre.


            Qu’est-ce l’humanité? L’humanisme est-il un espoir? Sommes-nous enliser dans nos vieux principes, croyances et même doctrine? Est-ce que l’ego individuel est maintenant plus fort que son prochain, que l’altruiste? Toutes ces questions que nous nous posons, lorsque nous observons notre société, sont bien réelles. Et il est temps de pouvoir maintenant les étudier et ainsi, y remédier. Cependant, comment pouvons-nous,  nous citoyens de ce monde merveilleux, arriver à vivre conjointement ensemble et cela, tous peuples ou nations confondus? Vous pourriez me comparer à une utopie, mais lorsque nous voyons les changements diverses que nos gouvernements sont obligés d’effectuer, un effet de cette conscientisation sociale, est l’une des preuves réfutant toute utopie que vous pouvez y envisager. Ce livre s’appuie sur des réalités sociopolitiques que nous avons pu observer sur la planète dans les dernières décennies et surtout, de leurs évolutions.

            C’est sur que nous pouvons toujours observer cela, sous cette définition de la Nation. Et cela, sera fait plus loin. Mais encore, ici nous observons que ce soit tous individus qui vit et cela, à l’égard de toutes règles et lois qui régissent cette communauté. Sa participation s’impose pour la formation d’une unité et cela, non seulement politique, de toutes nations vers un Contrat social commun à tous et rassembleur.

            Qu’est-ce qui empêche cette participation? Plusieurs choses entraînent cette baisse d’intérêt de la population face aux différentes instances que se soient. Sur ce point, nous avons dépassé le niveau du simple manque d’intérêt populaire pour aboutir à un sinistre sans précédent dans les relations entres le peuple et ses autorités constituantes.